Paysages urbains d'époque
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Re: Paysages urbains d'époque
Bénédiction annuelle des automobiles à la Chapelle de la Réparation à la chapelle de Pointe-aux-Trembles, 1964
crime tu rapelle des vieux souvenir j ai ete enfant de coeur a chapelle plusieurs annee et je demeurait tout pres de la
super tes photos tres interessant
firebuick- Incurable
- Date d'inscription : 14/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
La derniere est ben cool !! Le magazinage de noel devait se faire de bon heure non?
Les magazins fermaient tu un peu plus tard dans l'ancien temps!!!!!(LOL)
Les magazins fermaient tu un peu plus tard dans l'ancien temps!!!!!(LOL)
Joboy383- Accro
- Date d'inscription : 24/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
L'angle des rues Beaubien et St-Denis à Montréal: on y voit des panneaux-réclames d'événements culturels et théâtraux installés sur les poteaux de signalisation.
Photographie prise suite à la construction d'un terrain de stationnement (actuellement place de la Dauversière) situé en face de l'hôtel de ville de Montréal: on y voit la colonne Nelson, l'hôtel de ville, le Château Ramezay, l'édifice La Sauvegarde, l'Hôtel Taft, le Venitian Blind Hospital ainsi que l'élévateur de grains no 2
Photographie en plongée du marché public de la place Jacques-Cartier, prise de l'hôtel de ville: on y voit les commerçants, la colonne Nelson, l'Hôtel Taft et les installations du port à l'arrière-plan
L'intersection des avenues du Parc et des Pins avant la construction de l'échangeur: on y voit l'Hôtel-Dieu de Montréal à l'arrière-plan
Un mécanicien travaillant dans un atelier municipal de Montréal
L'intérieur d'un snack-bar à Montréal
L'avenue du Mont-Royal vers l'est, à partir de la rue St-Hubert: on y voit plusieurs commerces dont Giguère Fourrures
Cimetière d'automobiles sur la route 11 à Ste-Thérèse en 1960
voiture de police montréal 1950
Cimetières d'automobiles à St-Cyprien-de-Napierville ou St-Athanase, 1964
Photographie prise suite à la construction d'un terrain de stationnement (actuellement place de la Dauversière) situé en face de l'hôtel de ville de Montréal: on y voit la colonne Nelson, l'hôtel de ville, le Château Ramezay, l'édifice La Sauvegarde, l'Hôtel Taft, le Venitian Blind Hospital ainsi que l'élévateur de grains no 2
Photographie en plongée du marché public de la place Jacques-Cartier, prise de l'hôtel de ville: on y voit les commerçants, la colonne Nelson, l'Hôtel Taft et les installations du port à l'arrière-plan
L'intersection des avenues du Parc et des Pins avant la construction de l'échangeur: on y voit l'Hôtel-Dieu de Montréal à l'arrière-plan
Un mécanicien travaillant dans un atelier municipal de Montréal
L'intérieur d'un snack-bar à Montréal
L'avenue du Mont-Royal vers l'est, à partir de la rue St-Hubert: on y voit plusieurs commerces dont Giguère Fourrures
Cimetière d'automobiles sur la route 11 à Ste-Thérèse en 1960
voiture de police montréal 1950
Cimetières d'automobiles à St-Cyprien-de-Napierville ou St-Athanase, 1964
350 v8- Habitué
- Date d'inscription : 16/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
Canada. Québec. rue de la Fabrique
Magasinage de Noël sur la rue St-Hubert à Montréal, 1971
le gros luxe Cuisine et appareils ménagers dans les années 1950
Une télévision vers 1958. on est loin de notre télé écran plat
La nouvelle voiture du Curé Racicot, Longueuil, 1959
Quelques années plus tard cette voie se nommera Henri-Bourassa (1931)
dans la rue Sous-le-Cap à Québec 1949
québec basse ville 1954
québec basse ville 1941
Parc Lafontaine, Rues Amherst et Rachel
1er février 1949
Observez comme il faut : le policier semble s'adresser promptement au conducteur de l'automobile, qui n'a pas un faciès à vouloir rigoler. Nul doute que ce téméraire n'a pas tenu compte du signal d'arrêt, que le policier sous le parasol manipule, en le faisant tourner : arrêt et continuer. C'était en 1913.
Quand il n'y a pas de ponts, il faut tout de même traverser! Le pain quotidien des insulaires… À l'origine, on faisait traverser les gens, puis les chevaux et leurs voitures, puis les automobiles. Les imposantes bagnoles des années 1940 devaient prendre beaucoup de place, sur ces embarcations !
Un camion à l'apparence étrange, en 1920. Il servait à faire la livraison de crème glacée. Donc, un camion frigo !
Le petit vendeur de journaux semble enchanté d'avoir vendu une copie à cet homme bien vêtu, dans une rue passante d'une ville américaine. C'était en 1910.
Mais oui, mais oui, le nom du dentiste est le docteur Décarie. Pas de mal en soi : dans mon coin, il y a un monsieur Brûlé qui vend des instincteurs contre les incendies. La photo date de 1928 et nous présente un édifice commercial anglophone de Montréal, avec un dentist, un vendeur de hats, un autre de shoes. On se croirait en France aujourd'hui, n'est-ce pas ?
Alors là, pas de discussion : c’est un vrai de vrai ! Les bancs tourniquets, les casiers, la cabine téléphonique, la publicité de Coca Cola sur les murs, puis avec le gros juke-box à 78 tours tout au fond ! Comme il n’y a pas de clients, nous devinons que la photographie a été prise avant l’ouverture.
Dans les grandes villes, à partir des années 1920, les autobus étaient le transport en commun numéro 2, devancé par le tramway. Pas étonnant que cet autobus de 1929 ait la forme d’un wagon de tramway ! Notez le nombre de roues… Je suis certain que ce véhicule devait mener un bruit du diable !
Le kiosque de la compagnie Maytag présente le plus récent modèle de machine à laver, lors d'une exposition industrielle tenue à Washington, en 1926.
La taverne de Joe Beef est un lieu légendaire de culture populaire à Montréal. En premier lieu, il n'existait pas d'homme portant ce nom. La taverne était plutôt l'intiative d'un Irlandais du nom de Charles McKiernan, personnage coloré et philanthrope. Athée, l'homme faisait preuve d'une générosité que beaucoup de croyants n'auraient jamais osé démontrer. Quand un pauvre se présentait à sa taverne, il trouvait à manger gratuitement. À chaque heure de fermeture, les employés de la taverne invitaient les sans abris à venir y coucher. La taverne a ouvert ses portes en 1875, dans le quartier montréalais des environs du port. McKiernan allait quitter ce monde vers la fin du dix-neuvième siècle, mais sa taverne allait survivre aussi tardivement qu'au début des années 1960, moment où cette photographie fut prise. Le local existe toujours aujourd'hui, abritant le Foyer maritime, où des gens sans le sou peuvent coucher. Par ailleurs, un restaurant a récupéré le nom de Joe Beef.
photo 1962
Magasinage de Noël sur la rue St-Hubert à Montréal, 1971
le gros luxe Cuisine et appareils ménagers dans les années 1950
Une télévision vers 1958. on est loin de notre télé écran plat
La nouvelle voiture du Curé Racicot, Longueuil, 1959
Quelques années plus tard cette voie se nommera Henri-Bourassa (1931)
dans la rue Sous-le-Cap à Québec 1949
québec basse ville 1954
québec basse ville 1941
Parc Lafontaine, Rues Amherst et Rachel
1er février 1949
Observez comme il faut : le policier semble s'adresser promptement au conducteur de l'automobile, qui n'a pas un faciès à vouloir rigoler. Nul doute que ce téméraire n'a pas tenu compte du signal d'arrêt, que le policier sous le parasol manipule, en le faisant tourner : arrêt et continuer. C'était en 1913.
Quand il n'y a pas de ponts, il faut tout de même traverser! Le pain quotidien des insulaires… À l'origine, on faisait traverser les gens, puis les chevaux et leurs voitures, puis les automobiles. Les imposantes bagnoles des années 1940 devaient prendre beaucoup de place, sur ces embarcations !
Un camion à l'apparence étrange, en 1920. Il servait à faire la livraison de crème glacée. Donc, un camion frigo !
Le petit vendeur de journaux semble enchanté d'avoir vendu une copie à cet homme bien vêtu, dans une rue passante d'une ville américaine. C'était en 1910.
Mais oui, mais oui, le nom du dentiste est le docteur Décarie. Pas de mal en soi : dans mon coin, il y a un monsieur Brûlé qui vend des instincteurs contre les incendies. La photo date de 1928 et nous présente un édifice commercial anglophone de Montréal, avec un dentist, un vendeur de hats, un autre de shoes. On se croirait en France aujourd'hui, n'est-ce pas ?
Alors là, pas de discussion : c’est un vrai de vrai ! Les bancs tourniquets, les casiers, la cabine téléphonique, la publicité de Coca Cola sur les murs, puis avec le gros juke-box à 78 tours tout au fond ! Comme il n’y a pas de clients, nous devinons que la photographie a été prise avant l’ouverture.
Dans les grandes villes, à partir des années 1920, les autobus étaient le transport en commun numéro 2, devancé par le tramway. Pas étonnant que cet autobus de 1929 ait la forme d’un wagon de tramway ! Notez le nombre de roues… Je suis certain que ce véhicule devait mener un bruit du diable !
Le kiosque de la compagnie Maytag présente le plus récent modèle de machine à laver, lors d'une exposition industrielle tenue à Washington, en 1926.
La taverne de Joe Beef est un lieu légendaire de culture populaire à Montréal. En premier lieu, il n'existait pas d'homme portant ce nom. La taverne était plutôt l'intiative d'un Irlandais du nom de Charles McKiernan, personnage coloré et philanthrope. Athée, l'homme faisait preuve d'une générosité que beaucoup de croyants n'auraient jamais osé démontrer. Quand un pauvre se présentait à sa taverne, il trouvait à manger gratuitement. À chaque heure de fermeture, les employés de la taverne invitaient les sans abris à venir y coucher. La taverne a ouvert ses portes en 1875, dans le quartier montréalais des environs du port. McKiernan allait quitter ce monde vers la fin du dix-neuvième siècle, mais sa taverne allait survivre aussi tardivement qu'au début des années 1960, moment où cette photographie fut prise. Le local existe toujours aujourd'hui, abritant le Foyer maritime, où des gens sans le sou peuvent coucher. Par ailleurs, un restaurant a récupéré le nom de Joe Beef.
photo 1962
350 v8- Habitué
- Date d'inscription : 16/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
350v8, ces photos sont merveilleuses. WOW!!!!!!
Merci pour prendre le temps de partager toute cette information.
Merci pour prendre le temps de partager toute cette information.
Re: Paysages urbains d'époque
pas de probléme , fait plaisir d`autres demain
Classicfitness a écrit:350v8, ces photos sont merveilleuses. WOW!!!!!!
Merci pour prendre le temps de partager toute cette information.
350 v8- Habitué
- Date d'inscription : 16/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
350 v8 a écrit:pas de probléme , fait plaisir d`autres demainClassicfitness a écrit:350v8, ces photos sont merveilleuses. WOW!!!!!!
Merci pour prendre le temps de partager toute cette information.
J'allais le dire aussi, vraiment du beau travail 350v8 et tous les autres qui ont participé
Chevy73- Modérateur
- Date d'inscription : 10/10/2009
Re: Paysages urbains d'époque
montréal Travailleurs s'afférant au remplacement de la voie tramway au coin des rues Sainte-Catherine et Stanley 1933
montréal ; Gare centrale et batiments
Place Ville Marie
Pont Jacques-Cartier, poste de péage
Pont Jacques-Cartier, automobiliste au poste de péage
Une remorqueuse utilisée par la ville de Montréal dans les années 1940
montréal 1945
montreal_tramway
Montréal : Boul. St-Joseph 1945
Camion d'urgence. – 1955 montréal
Remorque. – 14 février 1955
Square Dominion. – 1952
Notre-Dame. – 1953
Papineau et Saint-Antoine. – 1956
Avenue Mont-Royal. – 22 février 1952
Saint-Laurent. – 22 février 1952
Saint-Denis. – 22 février 1952
Sainte-Catherine. – 13 juin 1952
suite demain
montréal ; Gare centrale et batiments
Place Ville Marie
Pont Jacques-Cartier, poste de péage
Pont Jacques-Cartier, automobiliste au poste de péage
Une remorqueuse utilisée par la ville de Montréal dans les années 1940
montréal 1945
montreal_tramway
Montréal : Boul. St-Joseph 1945
Camion d'urgence. – 1955 montréal
Remorque. – 14 février 1955
Square Dominion. – 1952
Notre-Dame. – 1953
Papineau et Saint-Antoine. – 1956
Avenue Mont-Royal. – 22 février 1952
Saint-Laurent. – 22 février 1952
Saint-Denis. – 22 février 1952
Sainte-Catherine. – 13 juin 1952
suite demain
350 v8- Habitué
- Date d'inscription : 16/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
Cantine mobile, 1947
Voilà le vendeur de frites ! Et une envolée de gamins de courir vers la petite roulotte. Le véhicule annonce “repas légers” et “patates frites”. Sans doute un bon cola pour compléter le tout ! Les frites arrivaient dans un cône de papier et la clientèle arrosait de sel et de vinaigre.
Laitier
Je ne connais pas la situation pour l'Europe, mais au Québec, le lait vendu en bouteille n'existe plus depuis longtemps. Le métier de livreur de bouteilles de lait est aussi disparu ! Je suis âgé de 53 ans et au cours ed mon enfance, ce métier faisait partie du quotidien, mais je ne pouvais réaliser l'aspect précieux de cette activité. Par contre, je me souviens très bien de la carte que ma mère affichait dans la fenêtre du salon pour indiquer au laitier qu'elle avait besoin d'une bouteille. Et elle arrivait, très froide, et c'était extraordinaire de mettre la main sur la bouteille et de goûter ce lait si frais !
Livreur de lait
Alors qu'il restait encore beaucoup de livreurs de lait se servant d'une voirure tirée par un cheval, celui-ci, au début des années 1950, possède un beau camion aussi blanc que son produit. Cela se déroulait à Québec.
Guénilloux !
C'est ainsi, au Québec, qu'on surnommait les personnes qui récupéraient des vieux vêtements (Guénilles), du métal, des boîtes et même des os ! Pas le métier le plus prestigieux, à vrai dire… Les mères en profitaient pour faire tenir sages leurs enfants turbulents : “Si tu ne te tiens pas tranquille, le guénilloux va t'emporter!” C'était de la récupération avant la lettre. Nul besoin, à cette époque, d'infester nos rues et nos cours d'énormes poubelles laides et toutes pareilles.
Une taverne en 1951
Je compte onze verres pour quatre hommes… Je vois aussi un décor rude, avec un gros calorifère, tout au fond. Même neuves, les tarvernes paraissaient vieilles. Ces messieurs sont probablement les vétérans du lieu. Il y en avait dans chaque taverne ! Des références ! Des gars qui savaient tout ! Qui devenaient, à l'occasion, le bras-droit du serveur (chauve, ventru ou moustachu, parfois les trois à la fois) débordé par le travail. Disparues ! Quelques survivantes, dans certaines villes… Mais celles-là sont aussi devenues des succursales hygiéniques du gouvernement du Québec. Ne peuvent être de vraies de vraies tavernes ! À la vôtre, messieurs !
Plus gros, plus haut, plus rapide, plus effrayant…
et plus tout ce que vous voudrez ! Vous avez remarqué qu'ils s'appellent tous Cyclone ? Regardez la petitesse des visiteurs, tout devant… Une photo des années 1950.
Qu`est ce qu`on fait aprés l`école , on va jouer au Hochey
Une patinoire rudimentaire dans un fond de cour. Parfois, les enfants jouaient au hockey dans la rue. Il n'était alors pas question de porter des patins et c'est pourquoi nous surnommions cette activité : hockey bottine! J'ai passé mon enfance à jouer au hockey bottine, dans des parties se terminant par des pointages du genre 62 contre 57. J'en garde un souvenir si précieux que j'en ai fait des descriptions dans mes romans, particulièrement un chapitre de mon roman Contes d'asphalte. Ici, le garçon avec le chandail des Canadiens de Montréal ne semble pas très solide sur ses patins, surtout face à un attaquant approchant à haute vitesse! Qu'à cela ne tienne : le gardien déborde de confiance!
Une station service en 1925
Boîte à savon
Au Québec, on appelle ce genre de jouet une boîte à savon. Je me suis souvent demandé pourquoi, jusqu'à temps que je vois cette photographie de 1910. Le jouet d'infortune confectionné semble avoir une véritable caisse comme loge du chauffeur. Quel produit? Du savon, je ne sais trop… Mais ça roulait! Surtout quand la fillette avait un grand frère aussi fort pour la pousser.
Voilà le vendeur de frites ! Et une envolée de gamins de courir vers la petite roulotte. Le véhicule annonce “repas légers” et “patates frites”. Sans doute un bon cola pour compléter le tout ! Les frites arrivaient dans un cône de papier et la clientèle arrosait de sel et de vinaigre.
Laitier
Je ne connais pas la situation pour l'Europe, mais au Québec, le lait vendu en bouteille n'existe plus depuis longtemps. Le métier de livreur de bouteilles de lait est aussi disparu ! Je suis âgé de 53 ans et au cours ed mon enfance, ce métier faisait partie du quotidien, mais je ne pouvais réaliser l'aspect précieux de cette activité. Par contre, je me souviens très bien de la carte que ma mère affichait dans la fenêtre du salon pour indiquer au laitier qu'elle avait besoin d'une bouteille. Et elle arrivait, très froide, et c'était extraordinaire de mettre la main sur la bouteille et de goûter ce lait si frais !
Livreur de lait
Alors qu'il restait encore beaucoup de livreurs de lait se servant d'une voirure tirée par un cheval, celui-ci, au début des années 1950, possède un beau camion aussi blanc que son produit. Cela se déroulait à Québec.
Guénilloux !
C'est ainsi, au Québec, qu'on surnommait les personnes qui récupéraient des vieux vêtements (Guénilles), du métal, des boîtes et même des os ! Pas le métier le plus prestigieux, à vrai dire… Les mères en profitaient pour faire tenir sages leurs enfants turbulents : “Si tu ne te tiens pas tranquille, le guénilloux va t'emporter!” C'était de la récupération avant la lettre. Nul besoin, à cette époque, d'infester nos rues et nos cours d'énormes poubelles laides et toutes pareilles.
Une taverne en 1951
Je compte onze verres pour quatre hommes… Je vois aussi un décor rude, avec un gros calorifère, tout au fond. Même neuves, les tarvernes paraissaient vieilles. Ces messieurs sont probablement les vétérans du lieu. Il y en avait dans chaque taverne ! Des références ! Des gars qui savaient tout ! Qui devenaient, à l'occasion, le bras-droit du serveur (chauve, ventru ou moustachu, parfois les trois à la fois) débordé par le travail. Disparues ! Quelques survivantes, dans certaines villes… Mais celles-là sont aussi devenues des succursales hygiéniques du gouvernement du Québec. Ne peuvent être de vraies de vraies tavernes ! À la vôtre, messieurs !
Plus gros, plus haut, plus rapide, plus effrayant…
et plus tout ce que vous voudrez ! Vous avez remarqué qu'ils s'appellent tous Cyclone ? Regardez la petitesse des visiteurs, tout devant… Une photo des années 1950.
Qu`est ce qu`on fait aprés l`école , on va jouer au Hochey
Une patinoire rudimentaire dans un fond de cour. Parfois, les enfants jouaient au hockey dans la rue. Il n'était alors pas question de porter des patins et c'est pourquoi nous surnommions cette activité : hockey bottine! J'ai passé mon enfance à jouer au hockey bottine, dans des parties se terminant par des pointages du genre 62 contre 57. J'en garde un souvenir si précieux que j'en ai fait des descriptions dans mes romans, particulièrement un chapitre de mon roman Contes d'asphalte. Ici, le garçon avec le chandail des Canadiens de Montréal ne semble pas très solide sur ses patins, surtout face à un attaquant approchant à haute vitesse! Qu'à cela ne tienne : le gardien déborde de confiance!
Une station service en 1925
Boîte à savon
Au Québec, on appelle ce genre de jouet une boîte à savon. Je me suis souvent demandé pourquoi, jusqu'à temps que je vois cette photographie de 1910. Le jouet d'infortune confectionné semble avoir une véritable caisse comme loge du chauffeur. Quel produit? Du savon, je ne sais trop… Mais ça roulait! Surtout quand la fillette avait un grand frère aussi fort pour la pousser.
350 v8- Habitué
- Date d'inscription : 16/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
Avez vous vu le beau Chevrolet 62, 2 portes blanc, je l'imagine avec l'interieur rouge
Chevy73- Modérateur
- Date d'inscription : 10/10/2009
Re: Paysages urbains d'époque
oui ces beau sa je ces ceux la qu ils appel bubble top tres beau model
comme celui la
http://images.google.ca/imgres?imgurl=http://www.dealsonwheels.com/images//barcode/00687982E02_1.jpg&imgrefurl=http://www.dealsonwheels.com/detail/1962_CHEVROLET_BEL_AIR_BUBBLE_TOP/00687982E02.aspx&usg=__M58tcQVw9UoyWHmz7Zvt3sX2j5c=&h=350&w=467&sz=41&hl=fr&start=9&um=1&tbnid=eey0cjlAK1rehM:&tbnh=96&tbnw=128&prev=/images%3Fq%3Dchevrolet%2Bbubble%2Btop%26hl%3Dfr%26sa%3DN%26um%3D1
comme celui la
http://images.google.ca/imgres?imgurl=http://www.dealsonwheels.com/images//barcode/00687982E02_1.jpg&imgrefurl=http://www.dealsonwheels.com/detail/1962_CHEVROLET_BEL_AIR_BUBBLE_TOP/00687982E02.aspx&usg=__M58tcQVw9UoyWHmz7Zvt3sX2j5c=&h=350&w=467&sz=41&hl=fr&start=9&um=1&tbnid=eey0cjlAK1rehM:&tbnh=96&tbnw=128&prev=/images%3Fq%3Dchevrolet%2Bbubble%2Btop%26hl%3Dfr%26sa%3DN%26um%3D1
firebuick- Incurable
- Date d'inscription : 14/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
Pour les plus jeunes regardez bien l'enseigne du marché Léo Ladouceur, le numero BE.3104
C'etait le numero de telephone et le BE etait pour Beatrice, a Montreal Nord c'etait DA pour Daniel, c'est comme ca qu'il donnais leur numero (exemple Beatrice 3104) facile a retenir et be = 23.
C'etait le numero de telephone et le BE etait pour Beatrice, a Montreal Nord c'etait DA pour Daniel, c'est comme ca qu'il donnais leur numero (exemple Beatrice 3104) facile a retenir et be = 23.
Dernière édition par Chevy75 le 8/1/2010, 20:21, édité 1 fois
Chevy73- Modérateur
- Date d'inscription : 10/10/2009
Re: Paysages urbains d'époque
firebuick a écrit:oui ces beau sa je ces ceux la qu ils appel bubble top tres beau model
comme celui la
http://images.google.ca/imgres?imgurl=http://www.dealsonwheels.com/images//barcode/00687982E02_1.jpg&imgrefurl=http://www.dealsonwheels.com/detail/1962_CHEVROLET_BEL_AIR_BUBBLE_TOP/00687982E02.aspx&usg=__M58tcQVw9UoyWHmz7Zvt3sX2j5c=&h=350&w=467&sz=41&hl=fr&start=9&um=1&tbnid=eey0cjlAK1rehM:&tbnh=96&tbnw=128&prev=/images%3Fq%3Dchevrolet%2Bbubble%2Btop%26hl%3Dfr%26sa%3DN%26um%3D1
Le Belair 62 etait Bubble top le Impala 62 avait le toit comme les 63 et 64.
Chevy73- Modérateur
- Date d'inscription : 10/10/2009
Re: Paysages urbains d'époque
C'etait le numero de telephone et le BE etait pour Beatrice, a Montreal Nord c'etait DA pour Daniel, c'est comme ca qu'il donnais leur numero (exemple Beatrice 3104) facile a retenir et be = 23.
a pointe aux tremble cetait Mi 5 pour mission 5 ou 645
firebuick- Incurable
- Date d'inscription : 14/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
Petite annecdote sur les laitiers, y'en a beaucoups mais je parle pas de ceux la......
J'ai, quand j'etait plus jeune, j'ai jaser avec un vieux monsieur qui etait laitier de peres en fils, et il me contait que lui ou son pere me rappel pu, fesait sa run avec une voiture a cheval et l'hiver il fesait froid et il rentrait un peut partout dans les maisons de ses chum (comme il connaissait tout le monde, s'etait a peut pres partour) et magasins general et a chaques endroit on lui servait un petit quelques chose a boire (boisson fort) et quand la run etait fini, le laitier aussi etait fini et c'est son fidele cheval qui le ramenais a la maison pour manger.
Le chaval connaissait la run par coeur.
autre chose avant les pancartes c'etait des jetons que les gens achetait et mettait sur la bouteille vide, ca voualis dire de laisser une bouteille pleine.
J'en ai quelques un ici que j'ai eu d'un collectionneur de jetton de lait, chaques laitrie avait ses jetons identifier a la laiterie, j'en ai vu des super vieux dans la collection de mr.Brouillette qui en passant vend aussi des pieces de voitures anciennes dans les marche aux puces d'exposition.
Dernière édition par Chevy75 le 8/1/2010, 20:59, édité 2 fois
Chevy73- Modérateur
- Date d'inscription : 10/10/2009
Re: Paysages urbains d'époque
moi chum qui restait st jacques le laitier passait et la maison etait jamais barrer il cognait si sa repondait pas il entrait dans maison ouvrait frigo check si la pinte etait vide si oui il en mettait pleine et sans retournait et c etait comme sa dans les campagne
pour le cheval ma blonde ma dejat dit le laitier et boulanger les run le cheval arretait aux bonne maison sans etre guider
pour le cheval ma blonde ma dejat dit le laitier et boulanger les run le cheval arretait aux bonne maison sans etre guider
firebuick- Incurable
- Date d'inscription : 14/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
j`aime ça des histoires comme ça , des anecdotes , des histoires que nos pére ou grand pére nous comptait aprés quelques , cé sur que des fois ils rallongeait l`histoire un peu pour que ça soit plus intéressant mais c`étais ben le fun des entendre compter leurs histoires , quand j`y pense , je m`ennuie de ça , des histoires que mon pére me comptait quand qu`il avait échanger une scie a chaîne pour un ford 1947 et un peu plus tard il avait manqué de brake et rentré dans une charrette a foin et brisé le devant du ford
350 v8- Habitué
- Date d'inscription : 16/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
de tres belle photos qui me rappel mon enfance a st henry montreal entre 65 et 72 continuer comme ca a nous faire rever c'est vraiment le fun
demondebil- Mordu
- Date d'inscription : 11/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
montréal Ancienne usine Catelli 1980
Marché Jean-Talon
1955
"Le marché Jean-Talon : des légumes vietnamiens cultivés au Québec" ("Guide du Nord", vol. XXIX, no 28, mardi 13 juillet 1982
7 février 1963
Coupure de presse
Un camion à déchets de la Cité de Montréal (aujourd'hui ville de Montréal) au début des années 1950
1932
Nous pouvons voir sur cette image une voiture de l'époque n'ayant rien de particulier à part une gratte en triangle fixée à l'avant de celle-ci. Vous pouvez constater que l'automobile se situe dans un milieu urbain et non rural.
Ce type de voiture était utilisé dans la ville de Montréal peu après l'apparition de la première voiture, à Montréal, vers 1904. Avec les besoins grandissants de la population par rapport au déneigement des routes, les habitants ont trouvé ce nouveau moyen de déneiger les routes, une voiture avec une gratte à l'avant. Pour l'époque, ce moyen était révolutionnaire puisqu'il permettait le déneigement des voies publiques sans trop d'effort et avec une efficacité accrue.
1949
Cette photo représente une souffleuse qui a été utilisée des années 1940 à 1960. À l'avant du camion, une gratte pouvait pousser la neige sur le côté. À l'arrière, le véhicule possédait une grande roue munie de palmes actionnées mécaniquement pouvant projeter la neige sur le côté. Évidemment, le camion devait reculer pour utiliser la roue arrière.
Ce modèle de souffleuse semble être très perfectionné mais en fait, il n'a pas été très populaire au Québec; on le retrouvait surtout en France. Ce véhicule n'était pas très utile en milieu urbain car il ne ramassait pas la neige, il la poussait simplement sur le côté. Cette souffleuse n'était qu'une nouvelle trouvaille qui ne répondait pas nécessairement aux besoins de la société urbaine. La prochaine image représente elle aussi une nouvelle invention qui a aidé au déneigement sans toutefois être une innovation très significative.
Nous remarquons dans cette image que ce camion de déneigement a été modifié pour faciliter la tâche des travailleurs. Sur les roues, des chaînes ont été ajoutées pour obtenir une meilleure adhérence sur des surfaces enneigées ou glacées. Autour des roues, des panneaux ont été installés pour empêcher la neige poussée par la gratte à l'avant du camion de retomber sur les roues et assurer ainsi que le camion ne restera pas pris.
Les amateurs de baseball québécois plus «anciens» se souviennent parfaitement du premier match des Expos au parc Jarry, contre les Cardinals de Saint Louis, le 14 avril 1969.
Boulevard Décarie après sa revitalisation, 1986, archives de la Ville de Saint-Laurent
Vue du Vieux Montréal, 1976
Commerces de la rue Le Royer, dans le vieux Montréal
Marché Jean-Talon
1955
"Le marché Jean-Talon : des légumes vietnamiens cultivés au Québec" ("Guide du Nord", vol. XXIX, no 28, mardi 13 juillet 1982
7 février 1963
Coupure de presse
Un camion à déchets de la Cité de Montréal (aujourd'hui ville de Montréal) au début des années 1950
1932
Nous pouvons voir sur cette image une voiture de l'époque n'ayant rien de particulier à part une gratte en triangle fixée à l'avant de celle-ci. Vous pouvez constater que l'automobile se situe dans un milieu urbain et non rural.
Ce type de voiture était utilisé dans la ville de Montréal peu après l'apparition de la première voiture, à Montréal, vers 1904. Avec les besoins grandissants de la population par rapport au déneigement des routes, les habitants ont trouvé ce nouveau moyen de déneiger les routes, une voiture avec une gratte à l'avant. Pour l'époque, ce moyen était révolutionnaire puisqu'il permettait le déneigement des voies publiques sans trop d'effort et avec une efficacité accrue.
1949
Cette photo représente une souffleuse qui a été utilisée des années 1940 à 1960. À l'avant du camion, une gratte pouvait pousser la neige sur le côté. À l'arrière, le véhicule possédait une grande roue munie de palmes actionnées mécaniquement pouvant projeter la neige sur le côté. Évidemment, le camion devait reculer pour utiliser la roue arrière.
Ce modèle de souffleuse semble être très perfectionné mais en fait, il n'a pas été très populaire au Québec; on le retrouvait surtout en France. Ce véhicule n'était pas très utile en milieu urbain car il ne ramassait pas la neige, il la poussait simplement sur le côté. Cette souffleuse n'était qu'une nouvelle trouvaille qui ne répondait pas nécessairement aux besoins de la société urbaine. La prochaine image représente elle aussi une nouvelle invention qui a aidé au déneigement sans toutefois être une innovation très significative.
Nous remarquons dans cette image que ce camion de déneigement a été modifié pour faciliter la tâche des travailleurs. Sur les roues, des chaînes ont été ajoutées pour obtenir une meilleure adhérence sur des surfaces enneigées ou glacées. Autour des roues, des panneaux ont été installés pour empêcher la neige poussée par la gratte à l'avant du camion de retomber sur les roues et assurer ainsi que le camion ne restera pas pris.
Les amateurs de baseball québécois plus «anciens» se souviennent parfaitement du premier match des Expos au parc Jarry, contre les Cardinals de Saint Louis, le 14 avril 1969.
Boulevard Décarie après sa revitalisation, 1986, archives de la Ville de Saint-Laurent
Vue du Vieux Montréal, 1976
Commerces de la rue Le Royer, dans le vieux Montréal
350 v8- Habitué
- Date d'inscription : 16/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
D'autres de ici et la
L'auriez vous essayé??
L'auriez vous essayé??
Joboy383- Accro
- Date d'inscription : 24/12/2009
Re: Paysages urbains d'époque
c'est quoi ca, un garage superposé ou un accenseur pour automobile?
Chevy73- Modérateur
- Date d'inscription : 10/10/2009
Re: Paysages urbains d'époque
Ma foi je npeux le dire!! Mais chose sur , ca devait prendre une bonne paire de (*$?!#@*! pour
aller parker le char en haut ....jai beau regarder pense + a un systeme de convoyeur verticale
aller parker le char en haut ....jai beau regarder pense + a un systeme de convoyeur verticale
Joboy383- Accro
- Date d'inscription : 24/12/2009
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